segunda-feira, novembro 03, 2008
As conclusões de Jean-Yves Le Gallou
Para estimular e apressar a vossa decisão de ler as Douze thèses pour un gramscisme technologique, de Jean-Yves Le Gallou, que já recomendei, transcrevo a parte final, as conclusões, que me parecem significativas do valor que na época presente assume a internet e a sua utilização numa perspectiva de afirmação de correntes culturais e políticas alternativas. Estão aqui conclusões e também os princípios de resposta a algumas objecções vulgares.
Je ne suis pas naïf.
Je ne crois pas à la martingale toujours gagnante.
Je connais les tentatives de censure et de répression sur Internet.
Je n’ignore pas que ce bel outil peut aussi servir d’alibi à la passivité de l’homme-tronc derrière son écran.
Et je vois chaque jour les puissants investir la Toile où ils ont, là comme ailleurs, l’avantage de l’abondance financière.
Pour autant, alors que depuis quarante ans la pression de l’idéologie dominante, l’idéologie perroquet, n’a cessé de se renforcer, Internet peut bouleverser la donne:
– d’abord, parce que c’est un instrument qui retire du «temps de cerveau disponible» (Le Lay) aux grands médias: c’est toujours ça de pris!
– ensuite, parce que c’est une arme utilisable du faible au fort;
– enfin, parce que c’est une arme au service des minorités agissantes qui sont aussi celles qui font l’histoire.
Je souhaite donc que le camp libertaro-identitaire ou communautaro-conservateur l’utilise encore davantage, toutes générations confondues.
Je ne peux m’empêcher d’établir un parallèle entre l’arrivée d’Internet dans les années 1995 et la montée progressive des mouvements populistes en Europe : en Suède, en Norvège, au Danemark, aux Pays-Bas, en Flandre, en Suisse, en Autriche, en Italie et même plus récemment en Grande-Bretagne et en Irlande.
Je ne peux m’empêcher d’interpréter non plus, de manière optimiste, les résultats des dernières élections autrichiennes. Les 16/18 ans sont ceux qui passent relativement le moins de temps devant la télévision et le plus de temps sur Internet: or ils ont voté à plus de 50% pour deux partis populistes qui incarnent la liberté et les valeurs traditionnelles de l’Autriche. Ne boudons pas les bonnes nouvelles!
Je ne suis pas naïf.
Je ne crois pas à la martingale toujours gagnante.
Je connais les tentatives de censure et de répression sur Internet.
Je n’ignore pas que ce bel outil peut aussi servir d’alibi à la passivité de l’homme-tronc derrière son écran.
Et je vois chaque jour les puissants investir la Toile où ils ont, là comme ailleurs, l’avantage de l’abondance financière.
Pour autant, alors que depuis quarante ans la pression de l’idéologie dominante, l’idéologie perroquet, n’a cessé de se renforcer, Internet peut bouleverser la donne:
– d’abord, parce que c’est un instrument qui retire du «temps de cerveau disponible» (Le Lay) aux grands médias: c’est toujours ça de pris!
– ensuite, parce que c’est une arme utilisable du faible au fort;
– enfin, parce que c’est une arme au service des minorités agissantes qui sont aussi celles qui font l’histoire.
Je souhaite donc que le camp libertaro-identitaire ou communautaro-conservateur l’utilise encore davantage, toutes générations confondues.
Je ne peux m’empêcher d’établir un parallèle entre l’arrivée d’Internet dans les années 1995 et la montée progressive des mouvements populistes en Europe : en Suède, en Norvège, au Danemark, aux Pays-Bas, en Flandre, en Suisse, en Autriche, en Italie et même plus récemment en Grande-Bretagne et en Irlande.
Je ne peux m’empêcher d’interpréter non plus, de manière optimiste, les résultats des dernières élections autrichiennes. Les 16/18 ans sont ceux qui passent relativement le moins de temps devant la télévision et le plus de temps sur Internet: or ils ont voté à plus de 50% pour deux partis populistes qui incarnent la liberté et les valeurs traditionnelles de l’Autriche. Ne boudons pas les bonnes nouvelles!
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