terça-feira, novembro 04, 2008
Teses para um gramscismo tecnológico
L’apparition et le développement d’Internet change la donne dans la bataille des idées.
(excerto da comunicação de Jean Yves Le Gallou)
La «révolte des élites» a été imposée aux peuples par l’intermédiaire des grands médias centraux: télévisions, radios et grands journaux; leur mode de fonctionnement est vertical: l’information part d’un émetteur et descend vers un récepteur.
Internet inverse le rapport de force entre le centre et la périphérie. Sur Internet chacun est à la fois récepteur et émetteur.
Le monopole de la presse est ainsi brisé. Jean-Paul Cluzel, président de Radio France, en fait le constat désabusé dans «Les Echos» du 14 octobre 2008: «Sur les sites Internet, les internautes, les jeunes en particulier, trouvent une information brute qui leur paraît plus objective et plus honnête.»
Plusieurs caractéristiques d’Internet contribuent à briser le monopole de l’idéologie unique diffusée par l’hyperclasse mondiale:
– d’abord, Internet permet l’extension de la parole privée qui, par nature, est plus libre que la parole publique; l’usage du pseudonyme peut encore renforcer cette attitude; et les tabous qui s’imposent dans la vie quotidienne existent moins, voire pas du tout, sur Internet;
– ensuite, Internet permet une propagation virale des messages; propagation qui peut être extrêmement rapide et qui contraint de plus en plus souvent les médias centraux à diffuser des informations initialement occultées;
– enfin, les moteurs de recherche n’ont pas – pas encore en tout cas – de conscience politique, ils sont neutres : un fait ou une analyse non conformes ont donc une bonne espérance de vie et de développement sur Internet.
(excerto da comunicação de Jean Yves Le Gallou)
La «révolte des élites» a été imposée aux peuples par l’intermédiaire des grands médias centraux: télévisions, radios et grands journaux; leur mode de fonctionnement est vertical: l’information part d’un émetteur et descend vers un récepteur.
Internet inverse le rapport de force entre le centre et la périphérie. Sur Internet chacun est à la fois récepteur et émetteur.
Le monopole de la presse est ainsi brisé. Jean-Paul Cluzel, président de Radio France, en fait le constat désabusé dans «Les Echos» du 14 octobre 2008: «Sur les sites Internet, les internautes, les jeunes en particulier, trouvent une information brute qui leur paraît plus objective et plus honnête.»
Plusieurs caractéristiques d’Internet contribuent à briser le monopole de l’idéologie unique diffusée par l’hyperclasse mondiale:
– d’abord, Internet permet l’extension de la parole privée qui, par nature, est plus libre que la parole publique; l’usage du pseudonyme peut encore renforcer cette attitude; et les tabous qui s’imposent dans la vie quotidienne existent moins, voire pas du tout, sur Internet;
– ensuite, Internet permet une propagation virale des messages; propagation qui peut être extrêmement rapide et qui contraint de plus en plus souvent les médias centraux à diffuser des informations initialement occultées;
– enfin, les moteurs de recherche n’ont pas – pas encore en tout cas – de conscience politique, ils sont neutres : un fait ou une analyse non conformes ont donc une bonne espérance de vie et de développement sur Internet.
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