quarta-feira, dezembro 31, 2008
Giovinezza
Quando se inicia um novo ano, cante-se a eterna juventude: Giovinezza!
Esta é a versão em uso na República Social Italiana.
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domingo, dezembro 28, 2008
Pour une stratégie de la séduction
"Seule la lumière, qui jaillit de l'âme noble et loyale du héros, pourra dissiper les ténèbres dont l'infamie a obscurci le monde."»
Corneliu Z. Codreanu.
"C'est une vocation héroïque que d'affronter la vague la plus tourbillonnante et de savoir que deux destins sont à égale distance : le destin de ceux qui finiront avec la dissolution du monde moderne et le destin de ceux qui se retrouveront dans l'axe central et royal du nouveau courant."
Julius Evola.
Avec le présent numéro de Totalité et les difficultés de tous ordres qui l'ont précédé (problèmes financiers, répression politique, etc.), nous arrivons à l'heure de l'autocritique et de la révision de notre ligne générale.
Bien entendu, nous n'avons aucunement l'intention de céder à la mode ou de nous complaire dans une autoanalyse incapacitante. Non. Il s'agit, pour nous, de faire le point: il est temps de jeter un regard critique sur notre entreprise, sans goût suicidaire comme sans vaine satisfaction. Cette brève analyse autocritique ne doit pas nous paralyser dans nos ambitions, bien au contraire. Elle doit exclure tout sentiment de honte, de regret ou de remords : nous appartenons à ceux qui tournent délibérément leurs yeux vers l'avenir et qui voient dans les regrets le signe d'une volonté affaiblie.
Pour ceux qui, comme nous, ont opté pour une solution radicale (les magistrats du système diraient, pour nous criminaliser: «extrémiste») des questions que pose le monde moderne, la sclérose guette. Toute position alternative court le risque d'une sclérose : dans ses références, son passé (le nostalgisme); dans son action, le présent (le dogmatisme sectaire); dans ses ambitions, son avenir (l'utopisme).
Tout d'abord, il y a sclérose dans l'exaltation du passé. Nous confessons avoir un peu cédé à cette tentation : par dégoût pour cette époque de veulerie dans laquelle nous avons le déplaisir de vivre, par fascination peut-être un peu morbide pour les dernières et approximatives tentatives de restauration de l'idéal traditionnel - nous parlons des fascismes - en oubliant par conséquent que nous raisonnons pour notre temps et en commettant l'erreur de croire que tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes fascistes. Extirpons de notre esprit cette «fuite en arrière». Procédons à l'historiographie sereine et lucide des mouvements d'avant guerre (nous mettons déjà à la disposition de nos lecteurs la brochure "Pour en finir avec le fascisme" et le livre d'Evola sur "Le fascisme vu de droite"). Les fascismes ont été des esquisses et les esquisses ont besoin de nombreuses retouches avant de devenir des oeuvres dignes de ce nom. Mais il y a aussi sclérose dans le mépris du présent. Attitude crédule, infantile que celle du refus du présent. Nos ennemis ne comptent-ils d'ailleurs pas sur notre retrait de la vie actuelle, sur notre automarginalisation qui confine le plus souvent à l'autodestruction? Dans certains cas, ils n'ont même pas eu à réprimer ou exclure: les individus concernés se sont d'eux-mêmes exclus, ont eux-mêmes réprimé leur volonté révolutionnaire. Or, si, dans son principe, nous refusons catégoriquement le monde moderne, nous n'en acceptons que plus la volonté de le transformer radicalement, de le remodeler, de le faire à notre image. Quelques-uns ont renoncé aux plus hautes ambitions révolutionnaires: cela importe peu; le drapeau compte plus que le porte-drapeau; la Vérité vaut plus que la bouche qui la prononce (en la déformant, le plus souvent). Parce que nous savons que nous ne pouvons plus cultiver en paix, dans ce monde des âmes damnées et des corps repus, notre jardin secret, nous lui déclarons une guerre totale, sur tous les plans. Marco Tarchi l'a bien vu: «On peut vivre contre l'esprit de son temps, en cherchant à le modifier; il n'est pas possible, pour celui qui veut agir dans un sens révolutionnaire en direction de ce changement, de vivre en dehors de son temps ou sans en tenir compte» (1). Il y a enfin sclérose dans l'absolutisation de l'avenir. Bien sûr, l'âge d'or, cycliquement, suit l'âge de fer. Mais il faut aussi le faire naître et ne pas se servir d'alibis «fatalistes» pour reporter à demain ce qu'il convient de réaliser aujourd'hui. On demande des forceps pour accoucher le meilleur monde du pire.
Cette autocritique prend tout son intérêt dans l'ouverture de nouveaux horizons, de perspectives inédites. Nous entendons désormais nous assigner une mission beaucoup plus ambitieuse que celle de publier, plus ou moins irrégulièrement, une revue révolutionnaire. Dans nos ambitions, nous ne voulons en aucune manière céder aux dangers multiples qu'encourent certains de nos voisins idéologiques (la «nouvelle droite», par exemple), mais «rendre bien visibles les valeurs de la vérité, de la réalité et de la Tradition à celui qui, de nos jours, ne veut pas «ceci» et cherche confusément «autre chose», ce qui veut dire «contribuer à ce que la grande tentation ne l'emporte pas chez tous, là où la matière semble être désormais plus forte que l'esprit» (Evola) (2).
Abordons les questions par ordre. La condition sine qua non de la conquête des esprits contemporains repose sur la formation d'une élite traditionnelle guerrière, militante, à la vocation héroïque. Sans ce pôle humain, aucune intervention culturelle ou sociale ne pourra recevoir sa vraie dimension, avoir sa juste portée; sans lui, les territoires conquis (et l'ennemi, de moins en moins confiant en lui-même, bat en retraite) risquent fort de se révéler stériles. II est donc fondamental et essentiel que «se constitue une élite, laquelle, en une intensité recueillie, définisse, selon une rigueur intellectuelle et une intransigeance absolue, l'idée en fonction de laquelle on a le devoir d'être unis» (Evola) (3). La formation de cette élite nous apparaît vraiment comme une nécessité absolue. Elle devrait permettre d'en finir une fois pour toutes avec les individualismes, les égoïsmes et les susceptibilités et autres tares d'un milieu profondément désespéré. Elle devrait aussi détourner ce vent de démission qui souffle dans nos rangs depuis quelques années. Que le chemin à parcourir soit dur, nous ne l'avons jamais caché; que les oasis soient rares dans le désert croissant du monde moderne, c'est une évidence. A chacun de se dépasser, de tuer en lui le médiocre, le conformiste, le craintif, de se dépouiller du vieil homme pour revêtir l'homme nouveau. Chacun doit pouvoir trouver une oasis intérieure par un travail constant sur le désert qui assèche en lui les plus hautes capacités. Le défaitisme, le découragement, le renoncement ne révèlent pas des âmes fortes, bien trempées, mais des caractères faibles, mous. Que ceux qui, peureusement, se replient dans leur tour d'ivoire se rappellent qu'aucune tour n'est imprenable et que la défensive est déjà une demi-défaite.
Insistons maintenant sur un point particulièrement important. Depuis trop longtemps, nous ne nous adressons qu'à nous-mêmes. Ou à des fantômes. Ou encore à de simples survivants. Il serait temps, pour nous qui vivons dans le monde des autres, de nous adresser aux autres. Aux êtres qui nous entourent et que nous côtoyons. Pour nous rajeunir, nous renouveler, revivifier la sève que nous portons. Par mauvaise habitude, nos yeux n'ont cessé de contempler notre nombril: qu'ils contemplent maintenant le monde alentour, en conservant le regard clair et «une sévère et claire adhésion à une idée» (Evola) (4)! Que cela reste bien compris: «En partant de ce qui peut encore subsister parmi les ruines, reconstruire lentement un homme nouveau pour l'animer au moyen d'un esprit déterminé et d'une vue adéquate de la vie, pour le fortifier au moyen d'une adhésion absolue à des principes donnés tel est le vrai problème» (5). Mais, pour constituer l'élite dont nous parlons, il est indispensable de trouver parmi ceux qui sont écrasés à terre par la pesanteur matérialiste quelques individus susceptibles de se relever, de se redresser et de nous emboîter le pas. Les hommes et les femmes du monde moderne dorment profondément. Dans leur majorité, ce sont des victimes qui ont été droguées, intoxiquées, envoûtées. Il faut les réveiller, leur parler, dans leur sommeil, d'une voix persuasive, de leur éveil. Alors, certains franchiront le seuil et reviendront à l'état de conscience. Les autres demeureront dans leur état comateux jusqu'à leur mort. Voilà pour la majorité de nos contemporains, benoîtement endormis. Mais il y a aussi ceux qui ont un sommeil agité et font des cauchemars - nous voulons parler des individus qui vivent dans le désarroi. Ceux-ci vivent dans l'angoisse, sentent que quelque chose ne va pas et posent des questions sans en découvrir les réponses. Contrairement aux autres, qui vivent dans l'inconscience, ceux-ci ressentent profondément le vide du monde moderne. Ces individualités en crise peuvent recevoir notre message. Mais nous ne pourrons les sortir de leur cauchemar que lorsque nous aurons totalement pris conscience de notre rôle, de notre mission. Précisons enfin que ceux qui distribuent sans vergogne des «somnifères» à une population déracinée devront un jour payer leurs crimes.
Nous n'insistons pas plus sur l'idée de la formation d'une élite (et sur son rôle). Ce sera l'objet de prochaines analyses. Nous réfléchissons sérieusement à la création des structures, de l'organisation qui permettraient de constituer cette élite. Pour éviter toute équivoque, soulignons encore qu' «il n'a rien appris des leçons du passé récent, celui qui s'illusionne, aujourd'hui, à propos des possibilités d'une lutte purement politique et à propos du pouvoir de telle ou telle formule, voire de tel ou tel système, auxquels ne feraient point contrepartie une nouvelle qualité humaine» (Evola) (6).
Pour rassembler les hommes de grande volonté et pour nous ouvrir efficacement au monde des autres, il faut que nous adoptions une stratégie de la séduction. Repoussons toute méprise: par «séduction», nous n'entendons pas désigner une prostitution des idées qui nous appartiennent. mais leur donner une efficience, une «consistance». Que seraient les principes s'ils ne s'incarnaient pas? Des principes. Mais nous qui ne sommes pas des principes mais des êtres vivants, nous devons les rendre manifestes. Ceci dit, le mot «séduction» recouvre à la fois notre désir profond de nous adresser aux autres, de les interpeller vivement (et il prend, dans ce cas, le sens d' «attrait», séduire signifiant ainsi plaire) et notre volonté de ne rien céder sur l'essentiel, de rester fidèles aux principes traditionnels qui nous animent (le verbe séduire retrouve alors son sens étymologique, seducere voulant dire, en latin, emmener à part, conduire à l'écart, séparer, diviser, partager). La stratégie de la séduction que nous proposons nous permettrait de déchirer le masque hideux que les marxistes et les libéraux nous imposent et nous serions en mesure de plaire, de gagner à nous des êtres nouveaux, vierges d'empreinte ou récupérables (prioritairement, la jeunesse). En les attirant à nous, en les menant à l'écart, nous les ferons ainsi rompre avec l'ensorcellement moderne, nous les délivrerons de l'emprise qu'exerce sur eux la société de consommation. Plus que jamais nous devons nous présenter comme des séducteurs et des éducateurs. Ne sommes-nous pas les seuls à posséder les clefs de l'avenir? Mais nos mains sont encore malhabiles et les serrures du destin encore trop inaccessibles.
Impérativement, nous devons trouver de nouveaux thèmes, découvrir des champs d'intervention inexplorés, diversifier notre discours. Puisque nous contestons le monde moderne dans son ensemble, nous devons avoir une solution de remplacement pour tout. Analysons les caractéristiques du monde environnant et prenons fermement appui sur elles pour notre action traditionaliste-révolutionnaire. Occupons les «continents» de la pensée moderne en y plantant notre drapeau. Substituons nos couleurs vives et chatoyantes à celles, défraîchies, des intellectuels de gauche. Prêtons attention aux intérêts majeurs de l'homme d'aujourd'hui (non parce qu'ils ont une réelle valeur (le contraire serait plus exact), mais parce qu'en lui tenant un langage différent dans les domaines qui le touchent, nous le choquons et l'inquiétons bien plus qu'en l'interpellant de loin. Faisons l'effort de descendre dans la vallée, nous qui connaissons la beauté de la montagne. Nous vivons dans une société «éclatée»: travaillons, polissons à notre manière chacun de ses «éclats». L'alternative que nous proposons est à ce prix: au prix de la diversification de nos interventions. Nous sommes mieux placés que les sectateurs de tous genres pour diffuser un message spirituel; mieux placés que les sociologues pour faire partager le sens de la communauté; mieux placés que les journalistes pour faire entendre la voix du pays réel; mieux placés que les néo-rousseauistes pour parler d'écologie et de nature; mieux placés que les sexologues pour donner une valeur à la sexualité (7), etc. Tous ceux qui veulent participer à nos projets (lancement de nouvelles revues, édition, etc.) seront bien accueillis. Il leur suffit de contacter Totalité. Nous comptons, ces prochains mois, sur des manifestations de solidarité plus concrètes. Nous espérons aussi voir nos rangs s'étoffer. Encore une fois, le manque d'argent et d'hommes nous freine. Pourtant, l'avenir nous appartient. Nous ne l'avons pas volé.
1 - Marco Tarchi, Destra e modernità - Un dibattito aperto » Dissenso N°7
2 - Julius Evola, Révolte contre le monde moderne, éd. de l'Homme, 1972, p. 495.
3 - J. Evola, Orientations, éd. Arktos, 1980, p. 24. Opuscule diffusé par Totalité (v.
service libraire).
4 - Id., p. 4.
5 - Id., p. 3.
6 - Ibid
7 - La revue Rebis remplit cette fonction. Etant donné l'importance que revêt la sexualité dans le monde moderne, il nous a semblé indispensable d'analyser les comportements érotiques et les moeurs de nos contemporains à la lumière des principes traditionnels. Rebis entend redéfinir les caractéristiques de la virilité et de la féminité, redonner à l'homme et à la femme leur juste rôle et reproposer entre eux une relation complémentaire et non antagonique. Rebis est parvenu à son quatrième numéro et les commentaires sont déjà nombreux (cf. l'article de Marco Tarchi. « Senza falsi pudori », Linea n° 42 et les recensions parues à la suite de la publication du n° 4 dans Elément n° 38, Heliodromos n° 12, Soltitium n° 3-4, année V).
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quarta-feira, dezembro 24, 2008
Feliz Natal e Bom Ano Novo
terça-feira, dezembro 23, 2008
Presentes para o Natal
"Ao gosto do gosto", de António Manuel Couto Viana;
"O Lado Direito das Coisas", de João de Castro de Mendia;
"Real Panteão dos Bragança - Arte e Memória", de Paulo Dias;
"Nova Frente - Textos da Blogosfera", de Bruno Oliveira Santos;
"Os alemães em Portugal - 1933-1945", de Reinhard Schwarz;
"Matando a sede nas fontes de Fátima", de Rodrigo Emílio;
"Pequeno Presépio de Poemas de Natal", de Rodrigo Emílio;
e mais o que houver no catálogo.
Não esqueça também as Edições Falcata e as Edições Réquila, onde também pode encontrar boas leituras sempre numa orientação nacional.
Neste Natal, compre livros. Dos bons.
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segunda-feira, dezembro 22, 2008
Um acto de confissão, de José Campos e Sousa
Não percam a "Mensagem"!!
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domingo, dezembro 21, 2008
Nem de propósito....
O mais recente êxito de vendas da música popular portuguesa: os Deolinda, e o seu "movimento associativo perpétuo".
Delirei ao ouvir a letra: ora oiçam, e digam-me se não foi escrito a pensar nos militantes do movimento nacionalista português... É uma crítica bem humorada, não levem a mal.
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Novidades
Vejam:
MENTE VERTICAL
NACIONAL CRISTIANISMO
O CACIQUE
O REACCIONÁRIO
Vamos criar as condições da esperança!
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sexta-feira, dezembro 19, 2008
Homenagem à Mocidade Portuguesa
El Manifiesto
... 45 días de prisión: la primera vez que en España se inflige una pena de cárcel a un progenitor por corregir a su hijo con un sopapo ocasional ...
... la guerra de las estatuas: derriban en Santander la última estatua de Franco que quedaba ...
... cuando el hombre europeo reclama su identidad, se habla de racismo, y cuando todos los demás reclaman su identidad, se habla de la justa reivindicación de derechos ...
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La Ligue du Nord italienne séduit les populistes européens
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"Nós, os Portugueses"
Maria Filomena Mónica em "Nós, os Portugueses" (pág. 90).
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Pátria e Juventude
Um novo que se lança ao caminho.
Força, companheiro!
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quinta-feira, dezembro 18, 2008
Tempo de antena do PNR
Preparemos as eleições europeias
quarta-feira, dezembro 17, 2008
Vidas Portuguesas: António Ribeiro Saraiva
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terça-feira, dezembro 16, 2008
Tempo de Antena do PNR
Não deixe de ver e ouvir a mensagem do nacionalismo. Divulgue, também, junto das outras pessoas para que um maior número possível de portugueses conheça a mensagem do PNR.
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segunda-feira, dezembro 15, 2008
A respeito do Fórum das Esquerdas
Há quem diga que o problema da Direita é ser de direita e o da Esquerda é ser de esquerda.
Talvez sim. Eu prefiro dizer que o problema da Direita é não ter uma perspectiva social e o da Esquerda é não ter uma visão nacional.
Eis o que, uma vez mais, se viu hoje, no dito “Fórum das Esquerdas”. Todos muito preocupados em passar atestados de esquerda a si próprios e em definir o futuro da mesma. Como se, entre nós, o futuro da Esquerda fosse mais importante do que o futuro de Portugal…
À Direita, não há fóruns, mas o cenário é o mesmo. Sem uma efectiva “perspectiva social”, dali não podem esperar, os portugueses, qualquer futuro…
Solução? Solução não há, apenas caminho: socializar a Direita e nacionalizar a Esquerda…
E, enfim, juntar a Esquerda Nacional e a Direita Social numa frente comum…
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domingo, dezembro 14, 2008
Outra interpretação histórica
A Giovinezza, numa interpretação histórica
sábado, dezembro 13, 2008
Cuori Neri
sexta-feira, dezembro 12, 2008
Tempo de antena do PNR
Os partidos políticos têm direito a uma emissão de 5 minutos/ano, num só bloco de tempo de antena na RTP.
Não percam!
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Carta de José Pinto-Coelho
A propósito da recente reportagem que a TVI emitiu no passado mês de Novembro, sobre imigração, com o título “Português Suave”, importa tecer uns breves comentários que desmontem a propaganda multicultural e falta de honestidade que envolveu essa peça que, apenas visou atirar areia para os olhos dos portugueses, passando-lhes um atestado de idiotas e branquear os malefícios da imigração. Mas muitos portugueses que viram tal pérola da manipulação perceberam bem o calibre dessa lavagem ao cérebro.
Muito haveria para dizer acerca de tão chocante programa que apenas serviu para vitimizar os imigrantes, coitadinhos, mal recebidos e mal aceites por muitos portugueses “insensíveis” e “desumanos”. Mas de tão óbvia intenção manipuladora, qualquer olhar um pouco mais atento percebeu o grosseiro dessa peça, ofensiva e falsa.
Desde logo pela exposição de uns quantos casos de vida banais, de veracidade discutível, com excessivo tempo de antena, recorrendo a uma amostragem da imigração, tendenciosa, sem rigor, que nada corresponde à realidade da maioria dos imigrantes que nos invade.
E porque não falar em situações verdadeiramente ofensivas para os portugueses desempregados, como a excessiva preocupação pelo cigano sem emprego? E então as centenas de milhares de portugueses sem emprego? Essa imensidão de histórias dramáticas, de incerteza quanto ao presente e ao futuro, fruto de injustiças da lógica capitalista e da concorrência desleal da mão-de-obra imigrante, não preocupa os senhores da TVI? E já agora, com toda essa prosápia, seria interessante saber quantos ciganos trabalham na TVI…
A falta de seriedade passou também pela ausência de contraditório em relação a certos depoimentos, bem como em relação às “verdades” baseadas em “estudos” e “números”, debitadas pela Rosário Farmhouse, do Acidi.
Quanto às afirmações capciosas da Senhora Rosário Farmhouse, é lamentável verificar que afinal os “campeões” do humanismo e da solidariedade, na sua argumentação em defesa das “vantagens” da imigração, refiram que estes dão lucro, encarando-os assim como mercadoria, bem ao gosto dos capitalistas, e não como pessoas.
Ainda que falasse do imigrante como simples matéria-prima ou mão-de-obra, também não é verdade que dêem lucro. Se é assim tão claro que eles dão lucro, é provável que então sejam os portugueses que estão a dar prejuízo e por isso… talvez estejamos cá a mais.
Por acaso nas contas desta Senhora entraram os 73 milhões de euros que lhe foram atribuídos para o Acidi, pelo Orçamento de Estado? Dinheiro esse, que é retirado dos impostos dos portugueses, para ser desbaratado em benefício dos imigrantes e gasto em propaganda pró-imigração e pró-multiculturalismo. Esse dinheiro não seria tão precioso para ajudar a diminuir a pobreza, por exemplo, entre os reformados?
Então e os colossais gastos de dinheiro - dos impostos dos portugueses - com as dezenas de associações de apoio à imigração? E os gastos com a “integração”, rendimentos mínimos, casas, subsídios e tantos apoios para os imigrantes? E os gastos futuros com as reformas dos imigrantes que contribuem hoje com o trabalho? E os gastos com o reforço dos meios de segurança para fazer face à criminalidade derivada da imigração?
Por isso, Senhora Farmhouse, faça essas contas completas e apresente os números verdadeiros!
Mas, pior que tudo isso, se falasse no problema da imigração não apenas como mercadoria ou números, mas sim numa perspectiva social e humana, então as coisas ainda iriam piorar, pois nessa “equação” seria imperioso incluir os incomensuráveis prejuízos sociais - que são os piores! - que ela traz: a ameaça à nossa identidade como nação, os danos sociais aos portugueses e a criminalidade!
Sim, a imigração trouxe toda esta criminalidade nunca vista em Portugal!
Voltando ao programa da TVI… e para desmascarar a sua vergonhosa manipulação, não posso deixar de referir a maldade na forma como são apresentados os Nacionalistas e o PNR: os “maus da fita”.
A falar-se em Nacionalistas, apresentam-se logo imagens de agitação e sons de ambulâncias para assustar as pessoas, estigmatizando sistematicamente a nossa imagem. Além disso, atribui-se aos únicos que em Portugal combatem estas políticas de imigração, apenas um tempo reduzidíssimo de declarações, pouco esclarecedoras, como resultado de duas longas entrevistas.
As duas figuras do nacionalismo entrevistadas não tiveram, juntas, metade do “tempo de antena” de um só dos “coitadinhos” entrevistados.
Para terminar, importa referir que, ao dar a entrevista à TVI - para dela terem extraído uns escassos segundos… - fui alvo de uma tentativa de agressão com arremesso de garrafas de cerveja e insultos, em pleno dia, no Martim Moniz, por parte de um grupo de africanos, os quais tentaram inclusivamente roubar a câmara da TVI. A jornalista e o operador de câmara, bem sabem os momentos de sufoco e perigo real que se viveram ali. Há imagens captadas, esclarecedoras desses momentos, que fariam as delícias de qualquer repórter ao conseguir tais inéditos. Mas não só as ocultaram, como nem ao menos fizeram uma leve alusão ao episódio. Porquê?!
A resposta é simples: uns segundos dessas imagens deitariam por terra toda a mensagem propagandística de vitimização desses que, bem o sabemos, estão cá a mais.
Quando se ocultam imagens dessas (reais), e se apresentam com grande ênfase, casos de vida (hipotéticos) de imigrantes "de topo", estamos perante a mais pura e escandalosa manipulação jornalística.
Nada mais há a dizer!
Só não vê, quem não quer ver!
José Pinto-Coelho
10 Dez 2008
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quinta-feira, dezembro 11, 2008
"Nova Águia" em Sintra
Numa iniciativa que conta com o apoio da Câmara Municipal de Sintra e do Jornal de Sintra, irá ter lugar a apresentação do nº 2 da Revista "Nova Águia", dedicado a "António Vieira e o futuro da Lusofonia", em conjunto com o lançamento da obra "Da Saudade como Via de Libertação" (Quidnovi), de Paulo Borges, apresentada pelo Dr. Rui Lopo e pelo Dr. Bruno Béu de Carvalho.
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Livro: "Mocidade Portuguesa", por Joaquim Vieira
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Para a história
quarta-feira, dezembro 10, 2008
Três blogues em foco
Terra Portuguesa.
E dois alentejanos:
Terras do Carmo
e Évora Terra Portuguesa.
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terça-feira, dezembro 09, 2008
Na sexta-feira, com José Campos e Sousa
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segunda-feira, dezembro 08, 2008
Lembrar Delfim Santos
Num texto intitulado “Situação Cultural”, deixou escrito o seguinte: “A consciência nacional, sob o aspecto da cultura, é a consciência do futuro que resulta da elucidação do presente, que, como tal, está sendo tratado (…). Talvez a este respeito estejamos atravessando uma crise grave. Não temos hoje uma plêiade de ensaístas com intenção formativa para auxiliar o fortalecimento da consciência de ser português”.
Prosseguindo a análise dessa “situação”, que caracteriza como de “crise grave”, explica que ela “tem como primeira consequência que a maior parte dos jovens que irão orientar o nosso futuro são formados em função do pensamento não radicado na problemática nacional, mas em outras que eles transpõem para cá, melhor ou pior".
Um outro filósofo a descobrir pelas novas gerações de portugueses.
“Onde é que a universidade portuguesa se preocupa com a formação da consciência nacional?”.
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Lembrando Francisco da Cunha Leão
Da obra deste importante pensador português destacamos "Ensaio de Psicologia Portuguesa" (Guimarães Ed.) e "O Enigma Português" (Guimarães Ed.).
Já em 2007 foi publicado o "Do Homem Português" (Guimarães Ed.), que reúne alguns dos seus ensaios, para além de estudos de António Quadros, António Braz Teixeira, Pinharanda Gomes e Artur Anselmo.
Um grande motivo para passar pela Guimarães Editores.
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Lançamento do CD «Portugal», de José Campos e Sousa
Realiza-se às 21,00 h. da próxima sexta-feira , dia 12 de Dezembro, na Sociedade Histórica da Independência de Portugal, no Palácio da Independência (Palácio Almada) - (no Rossio, junto ao Teatro Nacional Dona Maria II), a ssssão de lançamento do CD «Portugal», de José Campos e Sousa, musicando os versos de Fernando Pessoa na "Mensagem".
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domingo, dezembro 07, 2008
Algumas actualizações
Nacional-Cristianismo
O Reaccionário
E não esquecer o hi5:
http://terraportuguesablogs.hi5.com
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sábado, dezembro 06, 2008
O Clube Bilderberg
Para mais detalhes visitem:
http://www.europa-america.pt/product_info.php?products_id=5600
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Limites
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Mocidade
sexta-feira, dezembro 05, 2008
PNR vai concorrer às eleições Europeias em 2009
O Partido Nacional Renovador vai concorrer às eleições Europeias a realizar em Junho de 2009. Na reunião do Conselho Nacional, realizada no passado dia 1 de Dezembro, foi anunciada essa intenção bem como o o nome do cabeça de lista: Humberto Nuno Oliveira. À medida que forem sendo delineados os detalhes da candidatura, bem como iniciativas ligadas à mesma, será devidamente anunciado pelo partido. Nas últimas eleições europeias, realizadas em 2004, o PNR obteve 8.405 votos, que corresponderam a 0,25% da votação, tendo a abstenção sido de 61,4%.
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quinta-feira, dezembro 04, 2008
PNR defende Portugal
Manifestação PNR no 1º de Dezembro
Explorações na rede
- O Renascimento Lusitano, no Bar do Ossian
- A delegação de Almada da Associação de Comandos
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quarta-feira, dezembro 03, 2008
Madeira: Santa Cruz festeja na rua o 1º de Dezembro
A Restauração da Independência é a designação dada à revolta iniciada em 1 de Dezembro de 1640 contra a tentativa de anulação da independência do Reino de Portugal por parte da dinastia filipina, e que vem a culminar com a instauração da Dinastia Portuguesa da casa de Bragança.
Em Santa Cruz, os tradicionais festejos comemorativos têm início pelas 06.00 horas, com actuação da banda, que percorre as principais instituições da cidade, sempre acompanhada por muitos populares, grande parte deles acompanhados por panelas e instrumentos musicais, revivendo o ambiente de 1640.
(in Jornal da Madeira)
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terça-feira, dezembro 02, 2008
"Terra Portuguesa" no hi5
http://terraportuguesablogs.hi5.com/
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Sessão de apresentação da revista "Nova Águia"
Convidam-se os sócios e amigos de Olivença e todos os interessados na Cultura Portuguesa a participar na iniciativa.
(As novas instalações situam-se na Rua João Nascimento Costa, Lote 8, Piso 0, Loja D.ª, Lisboa (Metro das Olaias)
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Visitar a Fundação Batalha de Aljubarrota
A Fundação Batalha de Aljubarrota foi formalizada neste ano de 2008, e representa também a celebração contínua de uma data – 14 de Agosto de 1385 – que está entre as mais importantes da história do nosso país.
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