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sexta-feira, julho 20, 2007

A política antinacional do estado 

Comunicado do PNR:

O programa de apoio à natalidade anunciado hoje por José Sócrates é constituído por medidas avulsas que visam somente mascarar a política anti-natalista do actual governo.
Esta política anti-natalista é bem representada pelo ministro da Saúde, Correia de Campos, que classifica a gravidez como "doença" e isenta de taxas moderadoras as grávidas que pretendem abortar, ao mesmo tempo que procura condicionar o exercício da objecção de consciência por médicos e enfermeiros.
Se o actual executivo estivesse mesmo interessado em incrementar a natalidade entre os portugueses, não teria agravado o Imposto Automóvel das viaturas de passageiros com mais de 5 lugares, nem imporia o pagamento de taxas moderadoras para as crianças menores de 12 anos.
O PNR defende a vida humana desde a concepção e reclama uma política de Família que ponha termo ao défice demográfico. No nosso país, o Índice Sintético de Natalidade atingiu, em 2006, o valor mais baixo de sempre (1,36). O governo, bem como os partidos do sistema, não só não parecem interessados em inverter a situação, como até a estimulam com práticas "multiculturalistas", que visam substituir a população original por imigrantes.

Comunicado CPN
20-07-2007
www.pnr.pt

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Robert FAURISSON

19 juillet 2007



Guillaume Faye dénonce le révisionnisme



Guillaume Faye vient de publier La Nouvelle Question juive (Les Editions du Lore, 2007 [juin], 401 p., 26 euros) ; en 4e page de couverture, on nous précise qu'il est « un des auteurs majeurs de la mouvance identitaire et nationaliste européenne ». Le chapitre VI de son ouvrage constitue une charge contre les révisionnistes. S'il est vrai que l'auteur y dénonce « l'ineptie des lois anti-révisionnistes », c'est pour la raison que, selon lui, « les lois anti-révisionnistes ont beaucoup nui aux Juifs » (p. 186). Il écrit : « La totale stupidité des lois anti-révisionnistes se démontre parfaitement dans l'énorme publicité mondiale qu'elles ont donnée au révisionnisme lui-même et à la contestation de la Shoah » (p. 186). Il écrit : « Il aurait mieux fallu [sic] que ceux qui contestent les théories de Faurisson et d'autres sur l'inexistence de la Shoah se donnent les moyens de prouver l'inanité des théories révisionnistes. [...] La répression contre les révisionnistes (ou négationnistes) leur a fourni un tremplin. En assénant la Shoah comme vérité révélée, on lui a ôté malencontreusement son caractère de réalité historique. Ce qu'elle fut pourtant ... » (p. 187).


G. Faye écrit qu'il n'a jamais bien saisi ce que disent au juste les révisionnistes mais il sait néanmoins que ces derniers ne peuvent qu'être dans l'erreur ! Il demande à leur propos : « que contestent-ils ? Les chambres à gaz homicides seulement, ou les déportations ? Ou les exterminations ? Ou la politique anti-juive du national-socialisme ? Ou les critères d'internement dans les KZL [sic pour : soit "KL", soit "KZ"] ? » Et il conclut : « Je n'ai jamais bien saisi » (p. 191-192). Alors que, de son propre aveu, il est en quelque sorte dans la brume, dans la confusion et qu'il ne comprend plus rien en la matière, c'est chez les révisionnistes qu'il stigmatise « une certaine confusion », « une brume où personne ne comprend plus rien ». « Ils se sont déconsidérés », estime-t-il. « Ils pinaillent » ou bien « ils sont frappés d'imbécillité politique » (p. 192). Il écrit encore : « Je me suis toujours demandé si les révisionnistes croyaient vraiment à ce qu'ils disaient » (p. 193). Il affirme qu'il a rencontré, dans les années 70 et 80, des Français, des Italiens et des Allemands « qui furent des cadres de l'appareil d'Etat national-socialiste ou des combattants dans les unités SS, qui n'avaient jamais participé eux-mêmes à des exactions contre des civils non-combattants mais qui partageaient l'idéologie de l'époque. Tous étaient d'accord pour admettre que la Shoah – la tentative d'élimination des Juifs d'Europe – avait bien été une réalité, qu'ils l'approuvaient et qu'il n'était pas sérieux de la nier, dans l'intérêt même de la mémoire future du national-socialisme », et il conclut : « Voilà qui renvoie les révisionnistes à leurs chères études » (p. 193). On aimerait savoir quels sont ces gens qui, sans avoir commis ni probablement vu d'exactions, admettaient que la Shoah avait bien été une réalité, mais l'auteur prend la précaution de nous préciser que ces anonymes, dont il invoque le témoignage et dont on ignore le nombre, sont « tous décédés aujourd'hui ».


Il écrit également que « le révisionnisme a plombé les milieux identitaires » et que les révisionnistes ont « en termes de 'communication' commis une faute majeure » (p. 194). Il conclut : « Ce qui discrédite le révisionnisme, c'est qu'il a glissé d'une contestation technique des chambres à gaz homicides à la contestation intenable de la Shoah elle-même » (p. 195).

Il déplore les propos révisionnistes « allusifs », « provocateurs », « proprement intempestifs » ou les « considérations oiseuses sur la Shoah, les chambres à gaz, la Seconde Guerre mondiale » de « Le Pen, Gollnish [sic, ici et ailleurs, pour : "Gollnisch"] et d'autres » (p. 199).



Il traite le président iranien Ahmadinejad de « fanatique pathologique » qui aurait « organisé un colloque révisionniste à Téhéran en décembre 2006 » et qui aurait osé « appeler à la destruction d'Israël, à la déportation des Juifs israéliens en Occident et [à] la contestation radicale de la Shoah » (p. 188). En réalité, le colloque en question avait été ouvert à tous, y compris, pour une fois, aux révisionnistes, et le président iranien avait, bien avant le colloque en question, rappelé le mot de l'imam Khomeyni selon lequel le « régime » occupant Jérusalem disparaîtrait « de la page du temps » comme avait, de son côté, disparu le régime communiste en Russie ; les juifs pourraient continuer de vivre en Palestine mais au même titre que les musulmans ou les chrétiens ; ceux qui s'y refuseraient pourraient gagner ou regagner l'Occident ; de toute façon, si l'Europe avait, pendant la Seconde Guerre mondiale, entrepris d'exterminer les juifs, c'était à elle de réparer le crime. Pour sa part, le président iranien considérait que cette gigantesque entreprise criminelle était de l'ordre du « mythe ».



Pour savoir ce que disent au juste les révisionnistes, il suffirait à G. Faye de les lire ; après quoi, c'est en connaissance de cause qu'il porterait un jugement sur leurs écrits. Il pourrait également lire les nombreux ouvrages, dont il semble ignorer l'existence, où les tenants de la véracité de la Shoah se sont efforcés, sans succès, de « prouver l'inanité » non pas des « théories » mais des conclusions révisionnistes. Il comprendrait alors que, si les affirmationnistes de la Shoah recourent si volontiers à des lois que, pour sa part, il juge marquées de « sottise » ou d'« ineptie », ce n'est pas par inconscience mais par nécessité : quand on ne peut répondre à l'argumentation révisionniste sur le plan de la raison, on en appelle à la force injuste de la loi, au gendarme et au juge, quand ce n'est pas à une violence physique dont G. Faye ne nous parle pas.



PS : Aujourd'hui même, le révisionniste Georges Theil a été convoqué, à Grenoble, par le juge d'application des peines (JAP) Marie Thévenet, qui lui a signifié qu'il allait avoir à purger une peine de six mois de prison ferme (peine assortie d'écrasantes sanctions financières). Il a demandé à se voir infliger le port du bracelet électronique au lieu de l'incarcération. La décision lui sera notifiée en octobre à la suite d'une seconde rencontre avec le JAP en présence d'un représentant du ministère public. Faut-il comprendre que, du point de vue de G. Faye, le sort ainsi fait à ce révisionniste est inquiétant … pour les juifs et leur Shoah ?
 
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